2/ L'ASPARTAME

> > L’aspartame : une drogue qui vous tue en douceur > 06 avril 2009 - 18:19 - Bons plans bio- Par Amel Bouvyer > > Depuis son apparition, voilà plus de quarante ans, on sait que > l’aspartame est un poison et une drogue dure. Les toutes premières > études sur des singes, menées en 1969 par le Dr Harry Waisman, ont > révélé sans équivoque sa nocivité. Plusieurs autres études ont depuis > corroboré ce fait. En 1980, sur 196 animaux soumis à l’aspartame, 96 > sont morts de tumeur cérébrale. En 2004, on démontre que l’ingestion > d’aspartame peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine > dans le cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de > phénylcétonurie (les personnes atteintes de cette maladie génétique, > systématiquement recherchée à la naissance, ne peuvent métaboliser la > phénylalanine). En excès, ces niveaux peuvent amener une décroissance > du niveau de sérotonine, conduisant à des désordres émotionnels tels > que la dépression. Mais pas seulement. Scléroses en plaques, crises > d’épilepsie, tumeurs du cerveau… et pas moins de 2 621 effets > secondaires (dont œdèmes, céphalées, convulsions…) sont rapportés à > la suite de 7 000 plaintes de consommateurs en 1994 aux États-Unis. > > Malgré tout cela, et sous la pression des lobbies, l’aspartame a tout > de même été approuvé par la FDA et par les autorités de contrôle > sanitaire des 90 pays dans lesquels il sévit aujourd’hui. Autorisé en > 1988 en France, il est codé E 951 dans la classification européenne > des additifs alimentaires. Comment une telle chose a-t-elle été > possible ? > > Chronique d’un crime contre l’humanité > Durant seize ans, le comité de la FDA (Food and Drug Administration) > américaine s’est refusé à autoriser l’usage de ce produit dans > l’alimentation humaine en raison des études démontrant sa nocivité. > Le 8 mars 1977, la compagnie Searle qui a inventé l’aspartame (Searle > a depuis été rachetée par Monsanto, la tristement célèbre > multinationale qui a mis au point de nombreuses plantes > transgéniques) embauche Donald Rumsfeld comme président. La > communauté scientifique continue de refuser d’accepter l’additif > comme propre à la consommation. Le 21 janvier 1981, Ronald Reagan > devient président des États-Unis et fait entrer son ami Donald > Rumsfeld dans le gouvernement. Rumsfeld fait limoger les gêneurs de > la FDA qui s’opposent encore à l’emploi public de l’aspartame. Searle > présente à nouveau son dossier à la FDA qui l’examine d’un œil très > favorable en dépit d’un dossier accablant. Et à l’automne 1983, les > premières canettes de boissons contenant de l’aspartame sont en vente. > > Une drogue dure 100 % chimique > L’aspartame est composé de phénylalanine (50 %), d’acide aspartique > (40 %) et d’ester de méthyle (10 %) qui se transforme rapidement en > alcool méthylique après ingestion. Suite à leur dégradation > métabolique, ces molécules se transforment en plusieurs sous-produits > neurotoxiques, dont le formaldéhyde (ou méthanal, ou aldéhyde > formique) qui entraînent la mort des cellules synaptiques > (terminaisons qui transmettent l’influx nerveux dans le cerveau) par > sur-stimulation, un peu comme le fait la cocaïne, et induisent une > grave dépendance avec phénomène de sevrage intense pour les grands > consommateurs d’aspartame qui tentent d’arrêter d’en consommer. > > Chauffé, l’aspartame devient un poison mortel > Mais c’est lorsque les aliments contenant de l’aspartame sont exposés > à une température supérieure à 30 °C (durant l’entreposage, le > transport ou lors de la cuisson), que ce poison déploie tous ses > effets toxiques. On parle alors de la maladie de l’aspartame, en > partie la cause sous-jacente du mystère des problèmes de santé des > soldats américains durant la guerre du Golfe. La langue qui brûle et > d’autres troubles répertoriés dans plus de soixante cas ont été > directement reliés à la consommation de produits à l’aspartame. En > effet, plusieurs milliers de palettes de boissons « diet » avaient > été envoyées aux troupes stationnées dans le Golfe et ont été > stockées durant des semaines sur des palettes sous le soleil > d’Arabie. Or, comme nous l’avons vu plus haut, à partir de 30 °C, > l’aspartame libère du méthanol. Les hommes et les femmes envoyés dans > le Golfe en buvaient toute la journée. Tous leurs symptômes sont > identiques à ceux de l’empoisonnement à l’aspartame. > > > L’hypoglycémie, un effet pervers de l’aspartame > Les édulcorants de synthèse sont des substances chimiques au pouvoir > sucrant artificiel totalement dépourvues de valeur énergétique. Or > l’organisme ne supporte pas un taux de sucre insuffisant dans le > sang. Pour lutter contre cette hypoglycémie, aggravée par l’absence > de vrais sucres, il va mettre en place des systèmes de défense pour > avertir qu’il est en danger, qu’il a un besoin urgent de sucre et > qu’il sera bientôt en panne d’énergie et émettre des signaux ambigus > de faim et de satiété. > > L’aspartame ne fait pas maigrir, bien au contraire > La consommation d’aspartame est surtout motivée, chez les personnes > qui cherchent à perdre du poids, par le fait que son utilisation > n’apporte aucune calorie. Or, comme tous les édulcorants intenses, > l’aspartame entretient le goût du sucré, ce qui va d’une part > favoriser l’obésité et d’autre part engendrer une production > d’insuline qui peut favoriser le stockage de graisses. Il n’existe > par conséquent absolument aucune raison d’ingérer de l’aspartame dans > le cadre d’un régime amincissant. Ce n’est pas un produit diététique. > Bien au contraire, il provoque un besoin maladif de glucides et vous > fera tôt ou tard grossir. De plus, le formaldéhyde issu de sa > dégradation se stocke dans les cellules graisseuses, particulièrement > dans les hanches et les cuisses. > > Diabétiques : l’éviter absolument > Évidemment, plus la consommation d’aspartame est importante et > prolongée, plus les effets sont graves. Cependant certaines personnes > sont plus prédisposées à ces effets. Il y a entre autres de grands > risques de malformations congénitales pour les bébés dont les mères > consomment des produits contenant de l’aspartame alors qu’elles sont > enceintes car les sous-produits de la décomposition de l’aspartame > peuvent franchir la barrière placentaire ainsi que celle protectrice > du cerveau. Les jeunes enfants sont aussi sérieusement exposés à des > problèmes d’allergies, d’urticaire, de tumeurs au cerveau. Quant aux > diabétiques, ils doivent absolument l’éviter, car comme pour bien > d’autres maladies de dégénérescence, il accélère le développement du > diabète et provoque des complications métaboliques, neurologiques et > autres. Ce substitut a un effet des plus pervers, puisqu’il va > stimuler la libération d’insuline. La simple perception d’une saveur > sucrée suffit en effet aux hormones du tube digestif pour enclencher > l’amorce de l’insuline. Pour résumer, l’aspartame conduit chez les > diabétiques à une accélération des diabètes cliniques, rend difficile > le contrôle du diabète chez les diabétiques insulino-dépendants et > aggrave les complications du diabète telles que la rétinopathie, les > cataractes… Précisons que le stévioside extrait naturel de la stevia, > une plante d’Amérique du Sud, apparaît comme la meilleure solution > pour les diabétiques car il n’apporte aucune calorie et aide à > métaboliser les sucres. Découverte en 1915 au Paraguay, son pouvoir > sucrant est 250 fois supérieur à celui du saccharose. De plus, la > stévia est non calorique, non métabolisable, non fermentable et > n’entraîne aucun effet glycémiant. > L’aspartame a fait des émules > Les petits camarades de l’aspartame sont eux aussi loin d’être des > enfants de chœur. Sachez qu’il existe deux types d’édulcorants. Les > édulcorants intenses : aspartame (E 951), acesulfame de potassium (E > 950), cyclamates (E 952), saccharine (E 954), thaumatine (E 957). Ces > édulcorants portent la mention « contient de la phénylalanine », un > avertissement destiné aux personnes atteintes de phénylcétonurie > (incapacité de transformer la phénylalanine, une des composantes > principales de l’aspartame). Et les polyols (ou sucres-alcools), > présents à l’état naturel dans le règne végétal. Ce sont des hydrates > de carbone obtenus par hydrogénation de sucres sélectionnés. Ces > succédanés du sucre hautement raffinés portent les doux noms de > sorbitol (E 420), mannitol (E 421), xylitol (E 967), maltitol (E > 965), isomalt (E 953), ou encore lactitol (E 966). Ils sont pour la > plupart environ deux fois moins sucrés que le saccharose. Non > cariogènes, ils peuvent toutefois provoquer diarrhées et flatulences. > Mention spéciale pour le xylitol : obtenu industriellement à partir > de l’écorce de bouleau, il possède la rare propriété de protéger les > dents contre les caries. Le xylitol possède le même pouvoir sucrant > et la même saveur que le saccharose (sucre blanc). En revanche, son > apport calorique est inférieur (avec 2,4 kcal par grammes contre 4 > kcal). Bonbons, chewing-gums, pastilles contre le mal de gorge et > dentifrices sont les principaux produits qui font usage du xylitol. > On en trouve dans les magasins bio. Les Nouveaux Robinsons et Biocoop > ont néanmoins retiré de leurs rayons une bonne partie des produits en > contenant.

1 commentaire:

  1. bonjour,
    Il faut se méfier de l'aspartame car malheureusement elle n'est pas toujours mis en évidence sur les emballages. Il est nécessaire d'être très attentif.
    A bientôt
    djidji

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